Happie's Curator
A Tokyo, un service plutôt insolite a vu le jour : en effet, si vous avez un petit coup de mou au travail ou ailleurs, vous pouvez désormais louer les services d’un « beau gosse », qui viendra pleurer avec vous, puis séchera vos larmes… au sens propre du terme.
Cette idée saugrenue nous vient du site Ikemeso , qui rémunère des jeunes hommes séduisant afin qu’ils se rendent dans les lieux de travail de ceux qui font appel à eux, cédant à la pression et au stress.
Ce nom vient en réalité d’un mélange entre les mots « Ikemen« , qui signifie beau gosse, et mesomeso, qui veut dire pleurer.
Ces jeunes hommes sont répertoriés sous forme de catalogue sur leur site internet.
Et si vous êtes un peu sceptique à l’idée de tomber sur une personne peu professionnelle, sachez que ces messieurs sont diplômés de l’association nationale des pleurs de gratitude, eh oui ! Ils sont donc « Thérapeutes des pleurs« , un terme que l’on doit à l’origine au terme anglais « Therapeutic crying« .
Si vous n’arrivez pas à évacuer votre stress, pas de panique ! Nos beaux gosses disposent de vidéos tristes à vous montrer, afin de vous mettre la larme à l’œil, pour ensuite les essuyer, (oui oui, vraiment) et éventuellement vous réconforter avec quelques mots doux.
Hiroko Terai, le créateur d’Ikemeso, explique que les japonaises subissent énormément de stress au travail, et déclare : « Nous sommes ici pour les réconforter et sécher leurs larmes de la manière la plus douce possible ».
Ikemeso connaît un tel succès (une centaine de demandes par jour en à peine une semaine) malgré son lancement il y a très peu de temps, que l’entreprise hésite déjà à se lancer dans d’autres domaines.
Pour recourir à ces services, il vous suffit simplement de rentrer vos coordonnées sur le site Ikemeso, puis vous serez mis(e) en relation avec le « thérapeute des pleurs », via l’entrepise. Vous pourrez alors choisir selon diverses caractéristiques: l’intello, le bad boy, le romantique,…
Interessé(e) ? Pour cela, il vous faudra débourser au minimum 7 900 yen, soit environ 59 euros, et résider dans la région de Kanto, au Japon.
Alors, on valide ?
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