Happie's Curator
6. Les cauchemars comme source d’imagination
Si la majorité des gens est effrayée par ce qu’elle a vécu pendant un cauchemar, certains se servent de ce qu’ils ont expérimenté pour leurs œuvres. Cela est valable chez de nombreux artistes qu’il s’agisse de scénaristes ou d’écrivains.
7. Qui dit cauchemar ne dit pas forcément horreur
Contrairement à ce que pensent certains, un cauchemar n’implique pas forcément des visions d’horreur. Il peut parfois juste s’agir de « mauvais rêve » où l’on fait face à une chute ou à un cuisant échec !
8. « Cauchemard » n’existe pas !
Même si le verbe correspondant est bien cauchemarder, cauchemar ne prend jamais de D. Dans certaines régions, on parle également de cauquemare (Picardie) ou de cauquevieille (Lyonnais)
9. Les enfants sont plus affectés par les cauchemars
Dès l’âge de 18 mois, certains enfants peuvent faire des cauchemars. Cela est dû au fait qu’ils se retrouvent seuls dans le noir. La peur de la séparation ou de l’obscurité peut provoquer des réactions inattendues chez le jeune enfant qui va se retrouver dans son imaginaire.
10. Pourquoi sommes-nous réveillés en plein cauchemar ?
Un cauchemar fait intervenir simultanément le cortex visuel et l’amygdale qui gère nos émotions. Durant les cauchemars, la pression ressentie peut donc aller au-delà des suffocations et se matérialiser par un réveil.
Du stress et des inconnues en page 3 !