Les femmes, les filles, les nanas, ce monde mystérieux et inconnu (peut-être) pour toi, ô mâle, ô toi, homme.
Déjà, pour lire cet article, pose toi cette question: as-tu un vagin? Si la réponse est oui, lis la suite. Si la réponse est non, lis la suite quand même, ça ne pourra pas te faire de mal.
En tant que femme (et oui), nous connaissons toutes ces petits tracas du quotidien, ces emmerdes, et devons réellement relativiser face à la pression esthétique qui nous est imposée. Petites illustrations de notre vie chaque jour:
Le gloss, ce démon. Ça colle, ça brille (trop), et quand y’a du vent, tous tes cheveux se collent dedans.
Tu as vu la photo d’une mannequin beaucoup trop photoshopée dans Glamour? Tu veux te maquiller comme elle? Généralement, voilà à quoi ça ressemble.
Peut-être parce que tu t’acharnes à revitaliser quelque chose qui n’a pas besoin de l’être? Nan j’sais pas, j’dis ça comme ça hein.
Les joies du shopping (et des moments de solitude en cabine d’essayage)
Je sais pas, au pif comme ça je dirais l’injustice sociale? L’inégalité des salaires? Ne pas pouvoir porter une jupe sans être traitée de pute? Ah non pardon, c’est vrai, y’a rien de plus frustrant que de la poudre de maquillage cassée.
Ça, et une pinte de Grim bien fraiche. Sans citron dedans, faut arrêter de déconner.
Ou maso. Flash info: tu peux aussi être magnifique sans te créer des cloques.
Personnellement, c’est pas vraiment ça qui me fait détester les égouts. J’aurais dit l’odeur, les rats, le crocodile des égouts de Paris (je suis sûre qu’il existe). Au pire, regarde où tu mets les pieds, ça t’éviteras de te pêter la gueule.
Mais bien sûr, toute femme a besoin d’être admirée comme une croute accrochée dans un musée.
Et bim, encore une autre généralité. Elles font bien ce qu’elles veulent ces jeunes filles. Et si pour que tout roule mieux, on arrêtait de juger toutes les meufs en permanence? Laissez-nous respirer, sérieux.